Tracker est un outil d'indexation et de recherche de fichiers pour Linux. Il est installé par défaut sur de nombreuses distributions Linux car Gnome l'utilise.
Tracker accélère la recherche et active la recherche en texte intégral dans l'application Fichiers, fait fonctionner la fonction de changement de nom par lots basée sur les métadonnées dans l'application Fichiers et active la recherche de fichiers et de dossiers dans la vue d'ensemble des activités. Certaines applications GNOME en dépendent également (et ne fonctionnent pas du tout sans elle), comme Musique ou Photos. Sans Tracker, vous perdrez ces fonctionnalités, alors tenez-en compte avant de désactiver complètement Tracker.
Tracker peut avoir un impact sur les performances car gourmand en ressources.
Pour désactiver Tracker sous Gnome, deux méthodes :
méthode officielle : dans Paramètres → Rechercher, désactiver le commutateur dans les en-têtes des paramètres de recherche (en haut de la fenêtre). Cela ne le désactive pas toujours mais vous pouvez essayer et voir si cela a un impact sur votre système.
en masquant les services Tracker de systemd :
USER@MACHINE:~$ sudo systemctl --user mask tracker-store.service tracker-miner-fs.service tracker-miner-rss.service tracker-extract.service tracker-miner-apps.service tracker-writeback.service USER@MACHINE:~$ tracker reset --hard
Et redémarrez. Vous ne devriez plus voir aucun processus Tracker s'exécuter en arrière-plan. Vous pouvez également vérifier l'état des démons de suivi (Tracker Store et Tracker Miners) :
USER@MACHINE:~$ tracker daemon Dépôt: 16 janv. 2021, 10:21:50: 0% Store - Inactif Collecteurs: 16 janv. 2021, 10:21:50: ✓ Système de fichiers - Inactif 16 janv. 2021, 10:21:50: 43% Extracteur - Extracting metadata il reste 20 m 49 s
Ils sont tous désactivés ou inactifs.
Lors du masquage d'un service systemd, son fichier d'unité est lié symboliquement à /dev/null, ce qui rend impossible le chargement du service, même lorsqu'un autre service essaie de le charger. C'est mieux que de désactiver le service, car lorsqu'il est désactivé, un service peut toujours être démarré si un autre service qui en dépend est démarré.
USER@MACHINE:~$ sudo systemctl --user unmask tracker-store.service tracker-miner-fs.service tracker-miner-rss.service tracker-extract.service tracker-miner-apps.service tracker-writeback.service
Et redémarrez votre système.
Vérifier la présence de Tracker :
USER@MACHINE:~$ command tracker daemon -t Found 4 PIDs… Processus 6764 — « tracker-extract » terminé Processus 6779 — « tracker-miner-apps » terminé Processus 6795 — « tracker-miner-fs » terminé Processus 6808 — « tracker-store » terminé
Puis :
USER@MACHINE:~$ command cd ~/.config/autostart USER@MACHINE:~$ command cp -v /etc/xdg/autostart/tracker-*.desktop ./ USER@MACHINE:~$ for FILE in tracker-*.desktop; do echo Hidden=true >> $FILE; done USER@MACHINE:~$ command rm -rf ~/.cache/tracker ~/.local/share/tracker
Source : https://www.jbnet.fr/systeme/linux/gnome-desactiver-tracker.html
Récupérer la liste des paquets :
USER@MACHINE:~$ dpkg --get-selections > liste-des-paquets
USER@MACHINE:~$ sudo apt-get update USER@MACHINE:~ $ sudo dpkg --set-selections < liste-des-paquets USER@MACHINE:~ $ sudo apt-get -u dselect-upgrade
Insérer une clé usb. On suppose qu'elle s'est montée en /media/disk. Sinon, adapter.
Les opérations suivantes sauvent les éléments importants en vue d'une réinstallation éventuelle :
USER@MACHINE:~$ mkdir configuration USER@MACHINE:~ $ sudo fdisk -l /dev/sda > configuration/structure.list USER@MACHINE:~ $ sudo df -h|grep "^/dev/" > montages.list USER@MACHINE:~ $ sudo dpkg --get-selections > mespaquets.list USER@MACHINE:~ $ sudo cp /boot/grub/grub.cfg /etc/grub.cfg USER@MACHINE:~ $ sudo cp /boot/grub/device.map /etc/device.map USER@MACHINE:~ $ sudo mv configuration/*.list /etc USER@MACHINE:~ $ rmdir configuration USER@MACHINE:~ $ sudo cp -a /etc /media/disk
On peut de désactiver le wifi à l'ouverture de session avec cnetworkmanager.
Pour cela :
...@...:~ $ sudo python setup.py install
...@...:~ $ cnetworkmanager -w false
cnetworkmanager -w false
Les liens InterWiki permettent de lier un wiki à un autre. La syntaxe dans DokuWiki consiste à préfixer un nom de page par un raccourci séparé par le caractère ”>”
Exemples :
Les raccourcis InterWikis sont définis dans le fichier conf/interwiki.conf. Le fichier par défaut contient tous les raccourcis indiqués à http://usemod.com/intermap.txt.
Pour ajouter ses propres liens Interwiki, le mieux est de créer un fichier conf/interwiki.local.conf contenant les liens voulus. En effet, toute modification du fichier conf/interwiki.conf serait perdue lors d'une mise à jour de DokuWiki.
Pour associer des images aux raccourcis InterWiki, les placer dans le répertoire lib/images/interwiki avec le même nom que le préfixe interwiki. Ces fichiers images doivent avoir une taille de 16×16 pixels et être au format PNG ou GIF. Le nom du fichier image, sans son extension, doit être précisé sur la ligne correspondante du fichier conf/interwiki.conf.
Par exemple :
somewiki http://www.some.com/wiki/
Autre exemple :
wpfr http://fr.wikipedia.org/wiki/
Pour que la nouvelle image soit rapidement prise en compte, il faut purger le cache :
USER@MACHINE:~$ touch conf/local.php
Le raccourci InterWiki spécial nommé this désigne le répertoire du serveur web dans lequel DokuWiki est installé. Il permet de construire des URLs relatives. Par exemple, ceci désigne le flux XML local feed.php :
[[this>feed.php]]
On peut copier un fichier sur une machine distante avec les droits sudo conmme ceci (exemple du fichier fstab) :
USER@MACHINE:~$ scp fstab pi@framboise:/tmp USER@MACHINE:~$ ssh pi@framboise "sudo mv /tmp/fstab /etc/fstab"
Nous supposons qu'une fausse manip a effacé complètement le dossier /etc/pam.d
USER@MACHINE:~$ sudo fdisk -l
USER@MACHINE:~$ sudo mkdir /mnt/
USER@MACHINE:~$ sudo mount /dev/sdaX /mnt/
(sdaX = partition endommagée)
USER@MACHINE:~$ cp -R /etc/pam.d /mnt/etc/pam.d
USER@MACHINE:~$ sudo umount /mnt/
L'adresse MAC d'un matériel (ici, carte sans fil ou carte Ethernet) est l'identifiant unique (six groupes de deux caractères séparés par deux points) assigné par le constructeur. Par exemple : 00:1B:44:11:3A:B7